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Libertés et droits fondamentaux – Les tables rondes de droit comparé

Les Cahiers du CDPC – vol 13 – 2016-2017 – 188 p.

Le fondateur du CDPC, Jean-Claude Escarras, aurait sans doute apprécié que la « communicabilité », ce concept prometteur, fasse florès, lui qui, avec brio, avait démontré entre les systèmes juridiques français et italien en matière de contrôle de constitutionnalité des lois.

Cette nouvelle livraison des Cahiers du CDPC propose les contributions des deux premières tables rondes de droit constitutionnel franco-italo-tunisien, portant sur le droit propriété et sur le droit de grève et la liberté syndicale. Les travaux organisés dans le cadre de ces tables rondes ont pour ambition scientifique l’étude, dans une perspective comparatiste, des droits et libertés fondamentaux, particulèrement – mais pas seulement – du point de vue de la protection dont ils font l’objet dans les trois pays concernés.

Sommaire du numéro 13 :

Avant-propos par Jean-Jacques Pardini

Propos introductifs aux tables rondes par Amel Aouij et Claude Saint-Didier

Première partie 2015 – Le droit de propriété

La protection constitutionnelle du droit de propriété dans les constitutions italiennes de 1848-1849 par Laurent Reverso

La fonction sociale de la propriété privée dans la jurisprudence constitutionnelle italienne par Jean-Jacques Pardini

Le conflit du droit de propriété avec d’autres droits, libertés et objectifs constitutionnels par Jean-Claude Acquaviva

Le droit de propriété dans la question prioritaire de constitutionnalité par Jeanne Laleure-Lugrezi

Seconde partie 2016 – Le droit de grève

La grève et le syndicat, libertés individuelles et collectives par Jean-Claude Acquaviva

Le juge judiciaire et la constitutionnalisation du droit de grève par Claude Saint-Didier

L’utilisation du droit de grève en Tunisie : entre reconnaissance d’un droit et abus post-révolutionnaires par Hélène Turki

La Cour constitutionnelle italienne et le droit de grève … d’hier à aujourd’hui par Michaël Bardin

La grève politique en Italie, entre liberté et droit subjectif par Sylvie Schmitt